Transco est une entreprise publique qui compte plus de trois 3000 agents sont 1700conducteurs et autres agents prestant dans divers services. Cette entreprise dessert la mégalopole Kinshasa et ses environs. Actuellement, cette firme est en train de sombrer.
Les agents ne sont plus payés régulièrement. Pour apaiser la tension, le DG n’a payé qu’un mois d’arriérés alors qu’ils se chiffrent à plusieurs mois promettant d’apurer le reste. Jusque-là, aucune réaction. Dans un autre registre, l’actuel DG a reçu le surnom de Boika carl a rêçu ce surnom car ce dernier a pu payer les primes de performance. Présentement, la majorité de bus sont en mauvaise etats. Chaque jour, il y a plus de deux bus qui tombent en panne. Cette situation cause des graves problèmes dans la desserte de Kinshasa. Le charroi automobile de 500 bus a été acquis dépuis 2013 par l’ancien Premier ministre du Augustin Matata Ponyo. Aujourd’hui, nous en sommes à moins de 130 bus. Un agent qui a requis l’anonymat affirme qu’il est difficile de nouer les deux bouts du mois. » A cette allure, plusieur foyers risquent de se dissoudre a-t-il souligné. Enfin, le même agent souhaite que le gouvernement acquière d’autres bus tout en prenant le soin de désigner des autorités non seulement compétentes mais aussi et surtout jouissant d’une bonne probité morale. Dorcas Mayamba, passagère dans le bus de Transco raconte son calvaire. » On venait du marché central pour Kingasani, on a pris le chemin de Matete pour fuir les embouteillages en arrivant au pont Matete, le bus tombe en panne, le conducteur a essayé de réparer le bus en ajoutant de l’eau au moteur sans succès. Cette situation nous a pris 4 heures du temps et je suis arrivée à la maison vers 22h00 car il y avait encore des embouteillages vers Bitabe. C’était une mauvaise journée. » Les autorités doivent se pencher sur la situation de cette entreprise au bord de la faillite.
