Les récents événements survenus au siège de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) à Barumbu ont suscité une onde de choc au sein du parti et au-delà. Alors que des tensions ont éclaté, mettant en lumière des actes de violence inacceptables, la voix de l’honorable Michel Moto résonne avec force, rappelant les principes fondamentaux prônés par l’honorable Vital Kamerhe, surnommé le Pacificateur.
Les Kamerhistes, disciples de l’honorable Kamerhe, se positionnent fermement contre la violence. Dans un monde où les tensions politiques peuvent rapidement dégénérer, leur engagement envers le dialogue et la résolution pacifique des conflits se distingue comme une lueur d’espoir. Dans un tweet rédigé depuis Itebero, l’honorable Michel Moto a déclaré :
« Notre Maître l’honorable Président Vital Kamerhe nous a toujours prêché la non-violence. Ceux qui ont choisi d’user de violence pour s’exprimer n’ont pas leur place parmi nous. »
Cette déclaration ne se contente pas de condamner les actes de violence ; elle souligne l’importance de la cohésion et de la discipline au sein du parti. En affirmant que « le Président Kamerhe ne peut en aucun cas couvrir ce type d’agissement », Michel Moto appelle à une prise de responsabilité collective. L’UNC doit maintenant faire face à un double défi : gérer la crise interne tout en préservant son image publique.
Les inciviques identifiés doivent être radiés du parti, comme le souhaitent de nombreux membres, afin de garantir que les valeurs de non-violence et de dialogue ne soient pas ternies par les actions d’une minorité. La justice, quant à elle, doit jouer son rôle sans faille. Les actes de violence ne doivent pas rester impunis, car cela enverrait un message dangereux.
Que la violence peut être une réponse acceptable dans le débat politique. Les récents incidents au siège de l’UNC sont un rappel brutal de la fragilité des principes qui unissent un parti politique. Les Kamerhistes, par leur engagement envers la non-violence, montrent qu’il est possible de s’opposer à l’adversité sans céder à la tentation de la violence.
La situation actuelle doit être un catalyseur pour renforcer l’engagement envers le dialogue et la paix. Dans un contexte politique souvent turbulent, la voix de la raison doit prévaloir. La véritable force réside dans la capacité à résoudre les différends par la discussion et non par la confrontation. La balle est désormais dans le camp de l’UNC pour démontrer que la violence n’a pas sa place dans son avenir.
TEDDY MFITU
Polymathe, chercheur et écrivain / Consultant senior cabinet CICPAR













