” Trop, c’est trop. C’est maintenant ou jamais, la mort ou la patrie “, c’est le slogan scandé par le Collectif des femmes congolaises vivant aux États-Unis d’Amérique lors de la marche organisée vendredi 21 mars 2025 au siège des Nations-Unies à New-York.
À l’instar de la mobilisation tous azimuts au pays, les femmes congolaises ne pouvaient rester insensibles à l’agression Rwandaise et de ses supplétifs de l’AFC/M23. Ainsi, elles ont profité de la 69 ème session de la condition de la femme tenue du 10 au 21 mars au siège de l’ONU pour faire entendre leurs voix. Madame Virginie Kasiama, porte-parole de ce collectif a exprimé sa détermination en ces termes:
” Nous dénonçons cette agression barbare et nous avons la foi en la vision mise en place par le Premier Citoyen pour la résolution de cette crise, car nous nous battrons jusqu’au sacrifice suprême pour la récupération des zones occupées par les ennemis, négocier avec les terroristes révèle de la haute trahison” , a déclaré Madame Virginie Kasiama.
Et cette dernière de marteler que la survie de la nation congolaise est conséquente à une lutte tous azimuts, car l’histoire nous renseigne que la pression de la rue n’a jamais été domptée, les révolutions française et américaine en sont la preuve indéniable.
Madame Kasiama a également, au nom de la communauté, exprimé la détermination de reprendre le combat des pères fondateurs de la RDC en vue de préserver notre patrimoine commun qui est « la RDC » par la résistance contre l’agression, car, a-t-elle souligné, “notre souveraineté et notre intégrité territoriale sont non négociables”.
JM Mawete













