Le ministère chrétien du combat spirituel connu sous l’appellation du CIFMC a étonné par son degré d’organisation depuis la mort de sa visionnaire Maman Elisabeth Olangi Wosho, le 06 juin 2018 de suite d’une maladie.
Beaucoup de gens s’attendait à ce que ce ministère se disloque comme ce fut la coutume à Kinshasa avec les autres églises après la disparition du visionnaire. Il y a de quoi dire que cette œuvre n’appartenait pas au couple Olangi, mais à Dieu. Cicéron dirait à son temps, certains signes précèdent certains événements. Les cultes et différents services (Femmes pleureuses, affermissements, les renions des VIP et autres) se font comme si de rien n’était, que ce soit au centre Péniel mondial, CIFMC ou chez les jeunes combattants pour christ, les JCC). Les chaises sont toujours remplies du premier au dernier compartiment. Le peuple de Dieu continu à croire au Dieu de la visionnaire et plusieurs miracles se produisent à en croire les témoignages des plusieurs. Un notre fait qui a marqué notre passage, c’est la manière dont les fidèles offrent à Dieu, sans la moindre retenue. Il faut souligner que ce ministère se distingue depuis sa création des autres par le fait qu’il met un accent particulier sur la repentance sincère, le mot clé de la visionnaire. Selon ce dernier, nous sommes les résultats de nos origines, qui deviennent en suite des réclamations et nous empêchent dans la plupart de temps de progresser. Son évangile claire sur la repentance sincère a connu l’adhésion de plusieurs, surtout les femmes à travers le monde, jusqu’à devenir une référence incontournable. Elle s’est consacrée à amener des personnes à la repentance, la vraie repentance qui se révèle par un changement intégrale, d’avis, mais aussi de vie. Ce message a été déformé par nombreuses personnes, mais son combat a été caractérisé par une constance remarquable. Les enfants Olangi, de concert avec le collège des anciens ont su de manière harmonieuse, maintenir l’équilibre dans la persévérance, obstination, fermeté et continuité. La cohabitation entre ces deux parties ne souffre d’aucune anomalie.
Lors du confinement imposé par les autorités de la République en vue de lutter contre la Covid-19, le ministère a pu adapté les cultes, prières et adorations aux circonstances et ont recouru aux médias non seulement traditionnels mais aussi aux nouvelles technologies de l’information et de communication de manière à faire participer leurs fidèles aux différents programmes des prières qu’ils ont l’habitude d’organiser au jour le jour. Un très bel exemple à suivre, il faut se fixer des buts avant de pouvoir les atteindre. Notre enquête nous a révélé que ceux qui ont cru aux messages de la visionnaire Maman Olangi Wosho n’étaient pas venus pour la visionnaire, mais par conviction, vue la détermination et la foi rencontrées dans cet endroit lors de notre passage.
Golvie Muanda