Bojana Coulibaly, une figure qui a récemment suscité des controverses, se retrouve au cœur de l’attention publique en raison de ses prises de position et de ses relations. Entre des notes embrouillées lors du procès Onana et des fréquentations controversées, son parcours soulève des questions sur ses convictions et ses alliances.
Lors du procès du journaliste et écrivain franco-camerounais Charles Onana, Madame Bojana Coulibaly a fait parler d’elle en semblant s’embrouiller dans ses notes. Cette situation a généré des spéculations et remis en question sa crédibilité dans un contexte juridique sensible. L’incident a soulevé des interrogations sur sa capacité à traiter des affaires complexes et cruciales.
En tant qu’académicienne de Kigali s’exprimant en Kinyarwanda, Madame Bojana Coulibaly a fait des déclarations surprenantes, notamment en qualifiant les guillemets en langue française d’idéologie génocidaire. Cette position a suscité des débats et des critiques, remettant en cause sa compréhension de la langue française et de l’histoire politique africaine.
Les liens de Madame Bojana Coulibaly avec des membres du M23, groupe armé accusé de crimes et actes terroristes dans l’est de la RDCongo, ont attiré l’attention sur ses affiliations. Elle arpente allègrement des zones sous contrôle de ces criminels. Sa proximité avec des individus aux antécédents troublants soulève des inquiétudes sur ses valeurs et son engagement envers la paix et la justice.
Bojana Coulibaly se retrouve au centre de multiples controverses, mêlant des éléments intrigants tels que des notes embrouillées, des déclarations iconoclastes et des fréquentations controversées. Son parcours soulève des questions sur son intégrité, sa fiabilité et ses convictions. L’avenir nous dira comment elle fera face à ces critiques et comment elle justifiera ses actions et ses choix.
TEDDY MFITU
Polymathe, chercheur et écrivain / Consultant senior cabinet CICPAR













